Le début des temps modernes

Cette fois notre chronique à explorer le passé nous entraine au 19ème siècle. Siècle riche en événements de tous ordres où, nous l’allons voir, notre village se transforme et où la république française gagne enfin et définitivement sa légitimité.

Nous avions laissé notre récit au moment où la république naissante commençait tant bien que mal à apprendre à gouverner la France. Là, en ce début de 19ème siècle Napoléon Bonaparte s’empare du pouvoir lors du coup d’état du 18 brumaire an VIII[i] et se fait sacrer empereur en la cathédrale Notre-Dame de Paris le 2 décembre 1804 par le pape Pie VII. C’en est, pour plusieurs dizaines d’années, finit de la république.

Bien que la grande paroisse de Rosay-Villette subsistât encore pour un temps, celle-ci n’était plus une entité administrative. Pour assurer la gouvernance de ce qui était devenu la commune de Villette, un maire et un conseil municipal, tous élus, remplaçaient le marquis. Le registre d’état civil avait remplacé le registre paroissial et depuis 1804 le code civil[ii] avait remplacé l’ancien droit coutumier.

Dans notre village, cependant, la vie continuait. Les rues étaient animées par les enfants partant pour l’école ou en revenant, les hommes qui allaient travailler aux champs ou les femmes allant à l’épicerie ou au lavoir.

Les nombreux artisans et commerçants du village suffisaient à couvrir à peu près tous les besoins des habitants et leurs réputations pouvaient parfois s’étendre bien au-delà de notre vallée. C’était, par exemple, le cas des sabotiers de la vallée de la Vaucouleurs connus jusqu’à Paris pour l’élégance et le fini de leurs sabots.

Au début de ce 19ème siècle, cinq sabotiers exerçaient leurs talents dans la région. Les sieurs Deschamps et Gilles Foulon avec son fils étaient établis à Septeuil, le sieur Nicolas Garnier à Arnouville et Mathurin Langlois à Villette. Ces sabotiers travaillaient surtout l’aulne, le marronnier et le frêne. On reste confondu devant la quantité de bois qu’ils achetaient pour leur ouvrage. Plus d’un millier d’arbres cubant quelque 250 m³ furent ainsi transformés en sabots en une vingtaine d’années.[iii]

Parmi ces artisans et commerçants, l’épicerie du village était le lieu de rencontre privilégié. Elle établissait commerce à l’angle de la rue du Pavillon et de la rue Saint Martin. Voir encadré. On y trouvait presque tout ce dont on avait besoin : du pain amené tous les matins par le boulanger de Septeuil, des articles de mercerie, de quincaillerie, des sabots et bien entendu des produits alimentaires. Une salle contiguë à l’épicerie et à l’enseigne du « Bouchon » faisait office de café et de marchand de vin mais aussi de barbier et à l’occasion de perruquier. On y vendait également le charbon et le pétrole pour les lampes.

Il y avait à Leuze un autre café qui accueillait, outre les habitants du village, les voyageurs de passage. Ce relais routier avant la lettre était connu sous le nom de « A LA HALTE DE LEUZE ». Sa situation n’était pas le fruit du hasard car la route de Mantes à Septeuil était un axe de passage important.

Il n’y avait pas de médecin à Villette et jusqu’en 1860 il fallait, pour consulter, se rendre à Mantes. A la fin du Second Empire, deux officiers de santé s’installeront, l’un à Septeuil, l’autre à Arnouville. En cas d’urgence, on attelait la carriole pour chercher le médecin et le ramener au village, mais à cette époque la Sécurité Sociale n’existait pas encore. Il fallait donc payer la consultation. Aussi tardait-on à l’appeler, ce qui rendait souvent la guérison aléatoire et il n’était pas rare d’entendre dire

«  Tiens, le père X va casser sa pipe. Pourquoi ? Son gars est parti chercher le médecin. »

On comprendra que, dans ces conditions, on ait fait grand cas du rebouteux que l’on consultait notamment pour les foulures ou les entorses et qui administrait des remèdes à base de plantes moins onéreux que ceux prescrits par le médecin. Mais le rebouteux, comme le médecin ne faisaient que ce qu’ils pouvaient. C’est ainsi que lors de la dernière grande épidémie de choléra qui toucha notre village d’avril à Septembre 1832, sur neuf personnes qui furent atteintes, deux seulement en réchappèrent.[iv]

Imaginons un instant notre village. Pour ce qui est de sa partie ancienne, il n’est pas très éloigné de ce que nous pouvons voir aujourd’hui. Pourtant, en ce début de 19ème siècle il est une chose qui n’existe pas encore : les ponts. En effet, les villageois avaient coutume de franchir la Vaucouleurs et le mauru à gué. Certes il existât bien quelques ponts de fortune, mais ces ouvrages fragiles résistaient fort mal aux crues parfois dévastatrices[v] et il s’écoulait plusieurs années avant qu’on ne décidât de les reconstruire.

Le 19ème siècle va donc voir la commune se doter de ponts.

Le pont Baillet fut le premier pont à être construit sous la forme d’un vrai pont de pierre. Cela est probablement dû à sa situation stratégique sur la route de Mantes à Septeuil.

En témoigne cette inscription relevée sur une pierre du pont Baillet :

« Ce pont a été rétabli sous le règne de Jean-Denis Petit ».

Combien la découverte de cette inscription aurait pu faire naitre un jour, dans une tête d’historien, d’hypothèses hardies sur le règne de Jean-Denis Petit. Or ce roi inconnu n’était autre que le maire de Villette élu de 1808 à 1826 qui au lieu de dire : sous ma gestion, disait toujours : sous mon règne.

Quelques années auparavant, en 1807 un premier progrès avait été fait avec la construction d’une passerelle en pierres sur la Vaucouleurs à proximité de l’emplacement de l’actuel pont du Centre. Elevée d’un mètre seulement au‑dessus du lit de la rivière, elle était constituée de six piles avec culées[vi]. Son usage était exclusivement réservé aux piétons, les animaux et les véhicules continuant de franchir la rivière à gué. Mais ce passage se révéla bien vite insuffisant et devint même une entrave au libre écoulement du cours d’eau. C’est pourquoi on envisagea de construire à la place un pont de pierre d’une seule arche.

Pourtant, cela ne suffisait pas à assurer la communication entre les deux parties du village, car il fallait aussi traverser le mauru à gué. En 1851, le maire Guillaume Royer obtint de l’ingénieur des Ponts et Chaussée l’autorisation de remplacer la passerelle existante par un ponceau[vii] accessible aux voitures. La réalisation de cet ouvrage en 1857 aboutissait à la création du pont Noir.

Trois ans plus tard, le 11 Juin 1860 le Préfet signait l’autorisation de construire un pont en remplacement de la passerelle sur la Vaucouleurs.[viii] Un devis fut établi le 17 Février 1862, en voici un extrait dans lequel on remarquera l’attention toute particulière portée au choix et à la qualité des matériaux :

« La pierre de taille proviendra des carrières de Chérence[ix] ou autres lieux qui pourront en fournir de pareille qualité, c’est-à-dire qui soit pleine, dure, non sujette à la gelée, sans veine et d’un grain fin et uni.

Le moellon sera pris à la carrière de Plagne[x], commune de Guerville ou autre ayant même qualité; ils seront choisis parmi ceux provenant des bancs les plus durs, ceux qui contiendraient du boutin ou partie tendre sera refusé.

La pierre ordinaire proviendra des carrières du pays et sera choisie parmi celles dites meulières, caillasses ou autres dures, le moellon tendre sera refusé.

La chaux hydraulique proviendra de Senonches[xi] et la chaux grasse de Septeuil.

Le sable sera pris autant que possible sur la route impériale[xii] et en cas d’insuffisance ou impossibilité aux sablières du pays, il sera purgé de toute matière étrangère et tamisé.

Les bois pour cintres seront pris dans les environs au choix de l’entrepreneur. »

Le pont du Centre ou des Trois Quartiers était né. Dotée de ses trois ponts, Villette allait pouvoir ainsi affronter l’évolution des transports qui commençait.

Si la traction hippomobile était encore de loin la plus utilisée, cette fin de 19ème siècle voyait arriver les premiers véhicules à moteur. Pour preuve la première course automobile de Paris à Rouen du 19 au 23 juillet 1894. Dans ce contexte l’état des routes devenait un élément important de la vie économique. Nous avons vus dans la précédente chronique que la nationale 183 avait été entièrement refaite au siècle précédent. Nous venons de voir que notre village s’était doté au cours du siècle de vrais ponts. En 1854, le chemin de la Pierre Bénite[xiii] était refait en cailloutage. Bref notre village entrait dans la modernité. Dans ces conditions il n’est pas surprenant qu’un projet de train desservant l’axe Mantes Houdan ait germé dans l’esprit des édiles de cette époque.

A l’image de la ligne de Versailles à Epône créée en 1883, il fut envisagé en 1891 un projet de chemin de fer à voie étroite reliant Magny en Vexin à Boissy Saint Léger en passant par Mantes, Septeuil et plus près de nous le long de l’actuelle RD983. Ce projet était vivement soutenu par les bourgs et communes traversés car il leur semblait être un bon moyen de développer leurs activités. Le 14 mai 1890 le Journal de Mantes faisait paraitre une pétition en faveur de ce projet.[xiv]

Ce nouveau mode de transport original, à la fois chemin de fer et tramway, circulait sur des voies installées sur le bas-côté des routes. Lors de la traversée des villes et des villages on encastrait les rails dans la chaussée. Ces lignes étaient parcourues par des trains composés généralement de 2 à 6 voitures tirées par des locomotives à vapeur légères. La vitesse de ces trains ne donnait guère le vertige : 8 km/h en ville et 20 km/h au maximum en rase-campagne. Mais il faut toutefois rappeler qu’ils desservaient des zones rurales jusque-là accessibles par la seule voiture à cheval. Dans la journée circulaient des trains de voyageurs que l’on pouvaient arrêter à la demande entre les stations alors que la nuit était destinée au trafic des marchandises. Malheureusement pour les promoteurs du projet, celui-ci ne vit jamais le jour et les habitants des bourgs alentours tels que Maulette, Houdan, Richebourg, Orvilliers… continuèrent de plumer leurs volailles en se rendant à pied au marché de Mantes couvrant ainsi la route de plumes blanches en arrivant à Villette et Vert. Ce qui valut à la nationale 183 de l’époque le surnom de « route blanche ».

A la fin du siècle, certes il n’y avait pas de train, mais un service d’autocar omnibus reliait deux fois par jour Villette à Mantes et à Septeuil (Voir en tête d’article).

S’il est bien un domaine où les crispations de la société furent vives durant ce siècle, c’est celui de l’éducation. En effet, bien que la 1ère République ait, le 5 nivôse de l’an II[xv], institué l’enseignement primaire laïc et gratuit, le 15 août 1808 Napoléon Bonaparte rétablissait les écoles religieuses. Ce qui fait qu’au début de ce 19ème siècle, l’instruction des enfants de notre village, comme dans la plupart des régions de France, était encore confiée au clergé. L’école, située au 13 de la rue Saint Martin, était payante et n’accueillait que les garçons.

Sous la Restauration, l’ordonnance du 29 février 1816 établit un comité cantonal chargé des écoles. Elle indique notamment, dans son article 14 que les communes doivent « pourvoir à ce que les enfants qui l’habitent reçoivent l’instruction primaire, et à ce que les enfants indigents la reçoivent gratuitement ».[xvi] Ce qui fût le cas chez nous puisque jusqu’à la Grande Guerre des enfants de l’Assistance Publique, placés dans des familles du village, se joignirent aux écoliers de Villette.

Avec la loi Guizot de 1833, les communes de plus de 500 habitants devaient disposer d’une école de garçons. Puis dans la période transitoire entre le second empire et la troisième République et probablement inspiré par La Loi Dury de 1867 qui imposa une école de filles dans les communes de plus de 500 habitants, la Comtesse de Jobal[xvii] fonda en 1874 une école religieuse pour les filles. Celle-ci, située au 3, place de l’église, resta en activité une trentaine d’années jusqu’en 1905.

Il faudra attendre les lois Jules Ferry[xviii] de 1881 et 1882 sous la Troisième République pour que l’enseignement public commence vraiment à se développer. En 1889 après la construction de notre mairie, est enfin créée l’école publique de Villette. Une salle lui était réservée à l’arrière du bâtiment[xix]. Dans un premier temps, il n’y eut qu’une seule classe qui accueillait garçons et filles. Pour travailler, les écoliers ne disposaient que d’une longue table commune entourée de bancs. Comme le dit l’instituteur de Vert dans sa monographie de 1899 en parlant de l’école religieuse : « Le maître d’école était soit chantre, bedeau, sacristain, sonneur, balayeur d’église, clerc, en un mot domestique du curé. ».[xx], c’était le temps de ceux que l’on a appelé les « hussards noirs de la République »[xxi]. Luttant contre les cléricaux, ces instituteurs, souvent d’origine modeste, inculquérent aux écoliers de cette fin de siècle les valeurs de la République et de la laïcité.

Il est à noter qu’à la fin du siècle, un cours pour adultes fonctionnait 3 mois par an dans notre école publique.[xxii]

Ce 19ème siècle est probablement celui qui aura connu le plus de bouleversements politiques. En effet nous sommes passés en l’espace de quatre générations de la Première République au Concordat suivi du Premier Empire avec Napoléon Bonaparte. Arrive ensuite la Restauration des Bourbons suivi de la Monarchie de Juillet. Là, court sursaut de la Deuxième République vite étouffée par le Second Empire qui sera lui-même emporté par la guerre.

Le 19 juillet 1870, la France déclarait la guerre à la Prusse. Cette guerre, qui dura environ huit mois, commença vraiment, pour les habitants de la région, dans l’après-midi du 19 septembre. Vers cinq heures, une formidable détonation se fit entendre, accompagnée d’un nuage de fumée et d’un jet de pierres; le pont de Mantes était coupé.[xxiii]

Durant cette période avant l’arrivée des troupes prussiennes, des éclaireurs circulaient discrètement dans toute la région. Ils se firent parfois attraper tel qu’en témoigne cet extrait du rapport de poste de Villette de la garde nationale.[xxiv]

« Villette le 30 septembre 1870

La patrouille de Rosay a amené au poste un homme dont les papiers n’étaient pas en règle, nous l’avons conduit au poste de Vert.                                                                        Le chef de poste Leconte »[xxv]

Plus tard, un autre prussien fut découvert à Leuze caché dans un fossé.

Dans l’après-midi du 23 septembre une quarantaine de dragons prussiens précédés d’un parlementaire avec un drapeau blanc, faisaient leur entrée dans Mantes par la rue Porte-aux-Saints.[xxvi] Après d’assez durs combats avec les francs-tireurs de la région, l’armée prussienne continuant sa progression entrait dans Villette le 10 octobre et le 11, elle était à Septeuil[xxvii]. Un certain nombre de militaires furent hébergés au Grand Moulin de Villette, près de l’église. On raconte qu’un villageois irascible voulut les en chasser à coup de fourche; Il ne dut son salut qu’à l’intervention de la comtesse de Jobal[xxviii] auprès des autorités. L’histoire ne dit pas combien de soldats furent hébergés à Villette mais entre 300 et 700 hommes cantonnèrent à Septeuil d’octobre 1870 à janvier 1871.[xxix]

En attendant le traité de paix du 26 février 1871 où la France dut céder l’Alsace et la Loraine, le 28 janvier, un armistice fut signé à Versailles. Trois jours plus tard, arrivait à Mantes une dépêche officielle annonçant une suspension d’armes de 21 jours. A partir de ce moment, de nombreux soldats prussiens commencèrent à s’en retourner. C’est ainsi que quelque 2 600 militaires  remontant vers le nord-est arrivèrent sur la région et s’installèrent pendant quelques jours à Mantes, Mantes-la-Ville, Le Breuil, Rosny, Villette et Epône.[xxx] Le reste des troupes cantonnées sur Mantes et sa région levèrent le camp de la fin février à mars 1871.

Cette guerre avait conduit à la chute du Second Empire. Avec les élections du 8 février 1871 les Français voteront pour la paix avec la Prusse mais ces élections marqueront aussi le début de la Troisième République. La France redevenue enfin républicaine allait pouvoir terminer ce 19ème siècle dans la paix.

Pour finir notre chronique, un clin d’œil au romancier et auteur de pièces de théâtre Georges Moineau dit Georges Courteline. En effet celui-ci connaissait très bien notre village car avec sa première compagne et à cause de la maladie de celle-ci, ils quittèrent Paris dès 1899 pour s’installer dans la propriété de Madame Adeline Fleury la mère de celle-ci. C’est le 26 mars 1902 en la mairie de Villette que Georges Courteline épousa Mademoiselle Berthe Fleury dite Suzanne Berty. Celle-ci, atteinte de tuberculose[xxxi], ne vécut ensuite que très peu de temps puisqu’elle mourut le 6 mai suivant. Elle est enterrée au cimetière de Villette[xxxii]. La propriété de madame Adeline Fleury sise à l’angle de la rue de l’Eglise et de la rue du Moulin devint par la suite l’Auberge de la Canardière.

Salut donc Monsieur Courteline. Salut aussi à vous : Victor Hugo, Emile Zola, Charles Baudelaire ainsi que vous : Claude Debussy, Giuseppe Verdi, Ludwig Van Beethoven et sans oublier : Alfred Nobel, Louis Pasteur, Pierre et Marie Curie. Tous ces hommes et femmes qui ont jalonné ce 19ème siècle. Salut à vous hommes et femmes de culture et de savoir qui, par-delà les siècles, contribuez avec votre art à faire progresser l’Humanité.

[i] 9 novembre 1799

[ii] Ou code Napoléon – Promulgué le 21 mars 1804 (30 ventôse an XII), par Napoléon Bonaparte, il reprend une partie des articles de la coutume de Paris et du droit écrit du Sud de la France.

[iii] L’exploitation et le commerce du bois à Rosay et Villette aux XVIII et XIXe siècles – Jean Le Roy

[iv] Archives de Mantes ‑ Rapport par J.C. DUSSAUX épidémie de choléra.

[v] Inondations de 1839, puis celle de mars 1881. Cet hiver-là, il y eut de la neige jusqu’à hauteur d’homme dans les rues du village

[vi] La culée d’un pont est la partie située sur la rive destinée à supporter le poids du tablier

[vii] Petit pont – nom dérivé de poncel du latin ponticellus

[viii] Archives départementales – série O

[ix] Près de la Roche Guyon

[x] La Plagne

[xi] A proximité de Chartres

[xii] D983

[xiii] Actuelle rue de l’Eglise entre la RD983 et les tennis.

[xiv] Archives départementale – Le kiosque – Journal de Mantes n° du 14 mai 1890.

[xv] 26 décembre 1793

[xvi] Françoise Mayeur, Histoire générale de l’enseignement et de l’éducation en France, p. 329

[xvii] Propriétaire à cette époque avec son mari le conte de Jobal du château de Rosay, du moulin neuf et de l’école de filles de Villette.

[xviii] Les lois Jules Ferry sont une série de lois sur l’école primaire votées en 1881-1882. Notamment celles qui rendent l’école gratuite en 1881 et celles qui rendent l’instruction obligatoire et laïque en 1882.

[xix] A la place de l’actuelle salle des fêtes.

[xx] Archives départementales – monographie communale de l’instituteur 1899, commune de Vert.

[xxi] Ainsi appelés à cause de la couleur noire de leur blouse d’instituteur.

[xxii] Archives départementales – monographie communale de l’instituteur 1899, commune de Villette.

[xxiii] On peut encore le voir tel quel aujourd’hui.

[xxiv] Voir la chronique précédente – Des lumières à la révolution.

[xxv] Extrait d’un cahier de poste de garde propriété de M. Roger Royer.

[xxvi] La guerre de 1870 dans le Mantois – Guy Martin.

[xxvii] Archives départementales – monographie communale de l’instituteur 1899, commune de Septeuil.

[xxviii] Propriétaire à cette époque avec son mari le conte de Jobal du château de Rosay, du moulin neuf et de l’école de filles de Villette.

[xxix] Archives départementales – monographie communale de l’instituteur 1899, commune de Septeuil.

[xxx] La guerre de 1870 dans le Mantois – Guy Martin.

[xxxi] La philosophie de Georges Courteline – Edition Flamarion 1917

[xxxii] Références : Topic Topos, Patrimoine des communes – Berthe Fleury et aussi Archives Départementales – Registres d’état civil Cote 2MIEC355

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